Vivants, vous qui me faîtes la grâce de lire ma prose
Quand je vis l'enfer qu'elle ne vous ennuie à mourir ;
Défunts, vous qui reposez en paix au paradis ;
Voici venu le temps des voeux, pour moi votre assassin ;
Pourvu que l'enfer ne soit pas le paradis !
Alive, you give me the pleasure of your eyes,
while I'm hell-bent on my prose
lest it bores you to death ;
Dear departed, rest in peace in paradise ;
and in this season of greetings,
for me your hit-man :
let's hope heaven and hell
don't switch places !
Kappauf, Fouder, President and Editorial diretor of Citizen K international.
Winter 2010-2011
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